“Sous la direction du remarquable Gergely Madaras, les cordes de l’Orchestre de Radio France et le premier violon Nathan Mierdl nous ont offert une interprétation ciselée et vibrante d’une grande œuvre du minimalisme américain.”
Toute La Culture 06.05.2023
“Gergely Madaras gère le tout avec équilibre, laissant les deux solistes déployer le contenu de leurs interventions, tout en maîtrisant la substance symphonique distillée par la formation de Birmingham, en belle forme.
Crescendo Magazine 23.03.2023
“Dans une pâte prodigue, l’excellent Gergely Madaras, que l’on retrouve avec tant de plaisir (…), soigne la nostalgie dolente de l’Andantino. (…) Sous cette baguette, tonicité et suavité se conjuguent tout naturellement. (…) Un très, très beau concert !”
Anaclase, 04.03.2023
“Madaras controlled the balance, keeping the rushing strings at bay to allow woodwind statements to come through, and then allowed the orchestra to blossom, with shimmering strings and powerful brass, for the majestic conclusion.”
Bachtrack, 12.02.2023
“The orchestra made a sound of glowing warmth, and conductor Gergely Madaras shaped the music with unusual tenderness and flexibility, in a way that brought out its Schubert-like lyricism.”
The Telegraph, 16.01.2023
“In the First, with Gergely Madaras conducting the CBSO, there was real tenderness for this music, and a sense of its theatre too, with the French horns standing, as the composer asked for but which doesn’t always happen, in the finale. The scoring of the distorted Frère Jacques melody came across as fantastically weird, but elsewhere there wasn’t always the desired edge of existential terror. Excitement? Absolutely. Madaras is a master of whipping up a brilliant ending.”
The Times, 13.01.2023
“Madaras’s relaxed, affectionate treatment of the fragment suggested what his fine performance of the symphony later confirmed: that he is a sensitive Mahlerian who does not impose his ideas on the music too prescriptively but allows it to follow its natural trajectory, without ever curbing its ambition or, in the finale, downplaying its spectacular theatrics.”
The Guardian, 13.01.2023
“Madaras succeeded admirably…”
Arcana.fm, 12.01.2023
“… it’s clear this is one concert the musicians enjoy just as much as the paying guests”
Daily Echo, 02.01.2023
“Les mouvements plus larges succèdent aux mouvements plus intériorisés de façon naturelle, sans heurt et surtout toujours investis par une juste sensibilité qui ne bascule jamais dans le pathos.”
Olyrics, 13.12.2022
“La direction aiguisée de Gergely Madaras, jonglant avec les masses sonores et la multitude de nuances indiquées dans la partition, est habile à souligner certains détails d’instrumentation et, surtout, à tenir fermement le discours, sans baisse de tension”
Diapason Magazine, 13.12.2022
“l’Orchestre philharmonique royal de Liège poursuit un parcours exemplaire en offrant une très belle interprétation de cet oratorio. Cette musique convient décidément à Gergely Madaras, qui la dirige avec beaucoup de sensibilité et de goût.”
Premiere loge, 11.12.2022
“…egy igazi nagy mű előadása született meg a kezei alatt, ahol az újra és újra visszatérő, némiképp sziszifuszi építkezés mindig új színt, új lendületet kap, és végül diadalra viszi a liszti ihletésű zenét.”
Revizor Online, 27.11.2022
“The conductor Gergely Madaras, a rising star to watch, wielded excellent control. Visibly inspired by his Hungarian compatriot Sir Georg Solti, he adopted some techniques that recalled that legendary figure – though perhaps fortunately without Solti’s Mephisto-like ferocity.”
iNews, 17.06.2022
“Gergely Madaras was the impressive, authoritative conductor, keeping a grip on this seething multicoloured ocean of orchestral sound”
The Guardian, 11.06.2022
Gergely Madaras maîtrise assurément sa partition et en livre une interprétation personnelle et réfléchie. Sa vision semble plus verticale qu’horizontale, plus humaniste que céleste.
Classique c’est cool!, 12.04.2022
Händel után a záró Rückert-dal (az ötből a harmadik) varázslatos végszó, melyben nehéz eldönteni, hogy DiDonato vagy az egész előadás során érzékenyen és magabiztosan dirigáló Madaras Gergely karmester és zenekara az átütőbb.
Revizor Online, 27.03.2022
”Gergely Madaras did a wonderful job conducting. And in the performances of Sibelius’s Finlandia and Dvorak’s New World Symphony, he turned the orchestra into an entire world.”
The Times, 10.12.2021
“This was the conductor Gergely Madaras’s first appearance with the CBSO, and he’d opened with Sibelius’s Finlandia. After the interval came Dvorak’s New World symphony: a taut, intensely dramatic reading in which rhythms were springy and the climaxes positively roared.” (…) “This was a performance to blow away the cobwebs, and it’s no particular reflection on Dove to say that in Madaras’s hands, a work composed in 1893 sounded as urgent as the one premiered in 2021.”
Midlands Classical Music Making, 10.12.2021
“Après des salutations, la baguette du Chef d’orchestre s’agite, l’orchestre joue « Dvorak –Concerto pour violoncelle n°2 » et dès les premières notes, le public sait alors qu’il va passer deux heures de réel bonheur.”
Info-Chalon, 02.12.2021
“Le chef Gergely Madaras fait corps avec son orchestre, ses gestes souples mais toujours précis ont su galvaniser les pupitres.”
Classicagenda, 30.11.2021
“L’entente avec Gergely Madaras, à la tête d’un orchestre très en verve et conquis, est idéale. L’œuvre prend, par le truchement du direct et par cet engagement total, une urgence passionnée et flamboyante, ces « je-ne-sais quoi » faits d’imprévus et d’instantanés diligents”
ResMusica, 30.11. 2021
“Outre les suggestifs aspects venteux de la partition, restitués avec soin, relevons la limpidité et la clarté en définition des plans sonores. La battue de Gergely Madaras est preste, dénuée d’alanguissements”
Lyon-Newsletter.com, 29.11.2021
“Les Liégeois connaissent la symphonie, leur public aussi. Mais, dans la lecture de Gergely Madaras, il y a encore des choses à découvrir : le chef hongrois exacerbe les contrastes, amplifie les références wagnériennes et transforme en véritables tourbillons les incessantes répétitions de thèmes. Une lecture puissante, pleine de souffle et de jeunesse […]”
Nicolas Blanmont, La Libre, 27.11.2021
“Gergely Madaras a parfaitement saisi l’univers fragmenté et kaléidoscopique, les aspects parfois insaisissables et contradictoires de ce chef-d’œuvre aussi hétérogène que proliférant. Wilhelm Mengelberg avait, lors des séjours amstellodamois du compositeur, scrupuleusement noté les fluctuations métronomiques souhaitées, au fil d’un premier temps capricieux quoique durchkomponniert. Madaras rejoint cet idéal agogique avec une netteté insigne et un grand ordonnancement des idées musicales, d’une souplesse et une plasticité confondante. Il est admirablement suivi par son orchestre”
ResMusica, 01.10. 2021
“Few conductors effusively radiate as much delight at being on the podium as Madara’s with the Hallé, right from the bold opening chords, responding with distinctly first class playing.”
Seen and Heard, 16.03.2020
“The conductor Gergely Madaras proved himself full of imagination in this reading, revelling in the piece’s shifting colours and moods.”
The Times, 17.12.2019
“Madaras had a very clear idea of what he wanted, though it was far from conventional.”
Classical Source, 16.12.2019
“…tandis que l’orchestre et le chef, totalement en phase, évoluaient en apesanteur. L’auditoire les remercia d’une longue ovation.”
La Libre, 30.09.2021
“Gergely Madaras, un chef d’orchestre superdoué qui n’a pas son pareil pour nous emmener au coeur des oeuvres et nous les faire aimer.”
Le Soir, 26.09.2019
“Gergely Madaras n a pas déçu tantôt précis et dynamique dans les parties rythmiques presque fougueux tantôt sensible et doux dans les passages plus lyriques et contemplatifs il a prouvé qu il est déjà en symbiose avec le reste de l orchestre Une prestation réussie dans l ensemble et très prometteuse pour la suite de cette collaboration.”
RTBF, 26.09.2019
“Gergely Madaras, maintenant familier de l’Opéra des Nations, dirige avec efficacité l’orchestre de Chambre de Genève. De la légèreté pétillante à la pompe de la marche funèbre comme à la grandiloquence de l’opera seria, toutes les expressions sont justes.”
Classique News, 11.09.2019
“Sous l’impulsion constante du chef, qui ne permet aucun moment de relâchement, l’attention de chaque musicien est vigilante, les frémissements des violons lors de l’ouverture paraissant tout de même marcher sur des œufs”
Olyrix, 06.01.2019
“Sous la direction ample et engagée du chef hongrois Gergely Madaras, l’Orchestre Dijon Bourgogne et le Chœur de l’Opéra de Dijon font ensemble preuve d’une agréable homogénéité et d’un travail d’équilibre.”
Olyrix, 06.01.2019
“En fosse, le chef hongrois Gergely Madaras – directeur musical de l’Orchestre Dijon Bourgogne – donne à l’ouvrage tout le nerf et la causticité qui lui sont attachés, tout en parvenant à conserver ces moments de vérité, lorsque les masques tombent et que le métier doit parler de lui-même…”
Opera Online, 03.01.2019
“Gergely Madaras anime de manière agile et convaincue l’Orchestre de Chambre de Genève.”
Toute La Culture, 27.12.2018
“Dans la fosse d’orchestre, le jeune chef hongrois Gergely Madaras tient brillamment les rênes de l’Orchestre de Chambre de Genève et du Chœur d’hommes du Grand-Théâtre de Genève (préparé par Roberto Balistreri) en cultivant la finesse du trait dans une dynamique soutenue qui impose un rythme endiablé à l’ensemble de la production.”
Crescendo Magazine, 27.12.2018
“Comme il est rejouissant de sentir l’extreme complicité qui regne entre la mise en scene et l’orchestre. Un Orchestre de Chambre de Geneve qui, s’il n’a pas la réputation de l’Orchestre de la Suisee Romande, démontre un entrain, une joie qui l’érige en compagnon idéal de cette soirée. La direction attentive, dynamique et trés musicale de Gergely Madaras ne fait qu’ajouter au tableau déjá attachant de cette réussite.”
Resmucia, 26.12.2018
“Dans la fosse, L’Orchestre de Chambre de Genève est mené avec vivacité et allant par le jeune chef hongrois Gergely Madaras, un nom à retenir.”
Concerto Net, 21.12.2018
“Sous la baguette de Gergely Madaras, l’esprit est lá, la légereté comme la vigeur, avec des crescendi dignes de Rossini, dont on est encore si proches.”
Forum Opera, 21.12.2018
“La direction de Gergely Madaras imprime une vie constante à cette musique, souvent séduisante. Remercions-le d’avoir programmé cette œuvre rare que la plupart des auditeurs auront découverte à cette occasion.Il faut souligner, avant son départ pour la direction de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, combien Dijon lui est redevable d’avoir hissé son orchestre à un niveau que nombre de formations en région pourraient lui envier.”
Classique News, 06.12.2018
“Minden darabnál egyértelműen megnyilvánult az Madaras Gergely mindig lehengerlő karmesteri teljesítménye. Hatalmas energiával, de közben hihetetlenül biztonságosan és jó arányokkal vezényel. Minden koncertje élmény!”
Szintézis, 29.10.2018
“Madaras drew every ounce of gypsy passion and rustic nuance from Kodaly’s Dances of Galánta, a work defined by its infectious rhythmic kicks, characterising wind solos and a blistering sense of Magyar zeal.”
The Scotsman, 13.10.2018
“Gergely Madaras, imperturbable dans sa gestique horlogère.”
Resmusica, 17.09.2018
“…All spring and snap, Madaras’s reading highlighted the casual elegance of the orchestra’s woodwind section [Le tombeau de Couperin]…”
The Times, 1.5.2018
“…Gergely Madaras, [who had] already demonstrated his considerable talent elsewhere in the programme. He brought real transparency to Vaughan Williams’s Fantasia on a Theme by Thomas Tallis, real delicacy to Ravel’s Le Tombeau de Couperin, chiselling out each motif with a jeweller’s precision. And in John Adams’s The Wound-Dresser […] Madaras found a poise to match this restrained, eerie work about a nurse’s experience in the American civil war. His is a name to watch.”
Financial Times, 30.4.2018
“…the meditative aspects made the deepest impression in this performance under Gergely Madaras, a young Hungarian conductor very much at home in new music […] Le Tombeau de Couperin finds Ravel paying homage not only to an earlier composer but to friends killed in the war, and Madaras stamped his mark on it with fluency and warmth, drawing a halo of sound from the BBCSO. Madaras’s quietly authoritative presence was also telling in the Fantasia on a Theme by Thomas Tallis…”
The Telegraph, 28.4.2018
“…Gergely Madaras had very clear, elegantly expressed ideas of phrase and rubato, and the BBCSO offered a sequence of lovely woodwind solos and, from the strings, finely judged weight and tone. The music is much more than a retreat down memory lane, and it was fascinating to hear how Madaras balanced its artificiality against its surprising robustness, while making room for moments of enchantment…”
Classical Source, 28.4.2018
“Mit dem Dirigenten Gergely Madaras steht ein Mann am Pult des Orchestre de la Suisse Romande, der ein glänzendes Korrektiv zu mancher Übertreibung auf der Bühne bietet. Er lenkt die Aufmerksamkeit immer wieder auf die Musik, auf ihre melodischen Schönheiten, ihre rhythmische Rasanz mit dem gleichsam eingebauten Lachen, ihre Behutsamkeit und ihre Ironie. Ein phantastisches Revival.”
Neue Züricher Zeitung, 6.11.2017
“Manches Mal übertreibt [Thomas Jolly] auch in Richtung Klamauk, aber die Musik unter der behenden Leitung von Gergely Madaras holt ihn immer wieder zurück. Das Orchestre de la Suisse Romande mit den wunderbaren Flöten und Violoncelli als Leitinstrumenten hält das Geschehen in der für Offenbach so charakteristischen diskreten Schwebe, wo Lachen und Weinen, rhythmische Verve und melodisches Schwelgen, gesteigertes Spieltempo und versonnenes Innehalten eng beieinanderliegen. Ein bisschen Phantasie reiche schon aus, um die Welt zu verändern, so lautet die Quintessenz in Genf: Allons enfants de la Patrie!”
Frankfurter Allgemeine Zeitung, 7.11.2017
“La direction musicale, assurée par Gergely Madaras, se montre toujours attentive au plateau. Dès l’introduction du premier acte, les flûtes et les violoncelles donnent le ton : la poésie, la délicatesse, la rêverie seront au rendez-vous. Le chef y excelle, comme à passer du poétique au bouffe, comme à donner corps aux récitatifs (mélodrames). Il impose les bons tempi, ménageant les respirations mais aussi communicant une énergie extraordinaire à un orchestre qui sonne merveilleusement.”
Forum Opera, 3.11.2017
“Dès l’introduction en effet, l’Orchestre de la Suisse Romande nous gratifie de ses excellents solistes (…) qui ont tour à tour offert des moments musicaux de tout premier ordre. Sous la direction de Gergely Madaras, l’action musicale se déroule flexible, sensible, avec un soucis des équilibres entre la scène et la fosse offrant une belle énergie…”
Bachtrack, 5.11.2017
“Sehr gefiel auch der duftige, leichte Klang des Orchestre de la Suisse Romande unter der Leitung des jungen ungarischen Dirigenten Gergely Madaras. Madaras hatte das gut im Griff, die Verbindung von temperamentvollem Spiel und feinem Klang. Das ist eine ganz wesentliche Voraussetzung für einen erfolgreichen Offenbach.”
Klassikinfo.de, 3.11.2017
“La direction musicale de Gergely Madaras permet à l’Orchestre de Suisse Romande de briller de tous ses feux : dans les passages intimistes, chambristes comme dans les explosions spectaculaires. Les vents, les violoncelles (avec un beau solo) sont très sollicités. La délicatesse, les phrasés, les équilibres sont ménagés pour notre plus grand bonheur. Les incessantes acclamations qui saluent les artistes témoignent du bonheur partagé de cette mémorable soirée.”
Classique News, 3.11.2017
“Zu fragendem Nachdenken über die musikalische Qualität mag sich an diesem Laune machenden Offenbach-Abend freilich niemand bemüßigt fühlen. Dafür kitzelt der junge ungarische Dirigent Gergely Madaras mit dem bestens aufgelegten Orchestre de la Suisse Romande die delikate Eleganz der Musik mit geradezu mustergültigem Esprit heraus. Der Maestro, das Orchester und der formidable, emotional überwältigende Chor des Grand Théâtre gehören fraglos zu den Stars des Abends, der eben nicht zuletzt die Entdeckung einer kaum bekannten Seite Offenbachs möglich macht.”
Concerti.de, 7.11.2017
“A la tête d’un Orchestre de la Suisse Romande bien disposé, le chef hongrois Gergely Madaras – directeur musical de l’Orchestre Dijon-Bourgogne – veille aux équilibres et soigne merveilleusement les atmosphères, entre élégance et nostalgie…”
Opera Online, 6.11.2017
“Le jeune chef hongrois Gergely Madaras traduit les charmes de la partition à la tête d’un OSR aux bois subtils et aux cordes frémissantes.”
Le Temps, 5.11.2017
“Dans la fosse enfin, la baguette du jeune chef hongrois Gergely Madaras a reconstitué, avec l’Orchestre de la Suisse romande, un paysage sonore tonique, aux phrasés élégants et saillants (…)”
Tribune de Genève, 4.11.2017
“A Genève, le jeune chef hongrois Gergely Madaras en perçoit la constante imagination en suscitant une dynamique inépuisable face à un Orchestre de la Suisse Romande en bonne forme…”
Crescendo Magazine, 7.11.2017
“A la tête de l’Orchestre de la Suisse Romande, Gergely Madaras offre une lecture musicale dynamique et raffinée à la fois, sans éviter cependant quelques lourdeurs. Une exhumation haute en couleur et parfaitement réussie.”
Concertonet, 4.11.2017
“Wieder einmal darf sich die Kernbesetzung der Streicher von ihrer besten musikalischen Seite zeigen. Für extrem fokussierte Aufmerksamkeit im Saal sorgt nicht nur der für einen CD-Mitschnitt aufgestellte Wald an Mikrofonen, vielmehr überträgt sich das Fluidum feinfühliger Klanggestaltung von der Bühne herab perfekt auf die Zuhörer. Zuweilen könnte man eine Stecknadel fallen hören, es gibt sehr viel weniger Huster als sonst. Einen großen Anteil an dieser Atmosphäre hat auch der Gastdirigent Gergely Madaras. Ungekünstelt und wie selbstverständlich leitet der 32-jährige Ungar die WKO-Streicher, dirigiert stets präzise nach vorne und kommt weitgehend ohne Ruderbewegungen aus.”
Heilbronner Stimme, 11.11.2016
“La réponse et donnée dès le prélude du chaos, lorsque les cordes seules, tout l’orchestre ensuite – après que la basse a énoncé les premiers versets de la Genèse – et enfin le chœur conduisent une progression stupéfiante, qui éclate avec le « und es ward Licht » (et la lumière fut) : tout est juste et proche de la perfection. Gergely Madaras et l’Orchestre Dijon Bourgogne se sont appropriés l’œuvre et son esprit. Leur engagement est manifeste et ne se démentira pas. L’orchestre sait se montrer souple, léger comme puissant, avec des dynamiques et des tempi appropriés. Les bois y excellent, souvent sollicités….une production d’une exceptionnelle qualité.”
Forum Opera, 6.11.2016
“A Madaras Gergely által lenyűgöző elánnal, bámulatos érzékenységgel vezényelt Budapesti Filharmóniai Társaság Zenekarának viszont mindent elhiszek. Nincs az a lelki vagy természeti égszakadás-földindulás, vagy csendes nekibúsulás, amit ezen az igencsak széppé vált estén ne tudott volna megjeleníteni. Egybeolvad zene és Shakespeare dráma, fölerősítik egymást, és ez a többségre úgy hat, hogy már nem is lehetne meglépni, míg véget nem ér a produkció.”
Népszava, 06.08.2016
“A Dohnányi sorozat 5. estjének műsorán két nagylélegzetű kompozíció szerepelt: Dohnányi I. szimfóniája, valamint Rimszkij-Korszakov Seherezádé című szvitje. (…) Olyan hangversenyt hallhattunk, amelyre érdemes sokáig emlékezni. Madaras Gergely határozott elképzeléssel, lelkesen irányította a felcsendülő tételeket. Zenére-figyelő gesztusaival elérte, hogy a hangszeresek is aktívan vegyenek részt a tételek megformálásában. Az „itt és most” születés-gesztusát az egész est folyamán életben tartották, nem voltak rutin-jelleggel megszólaltatott zenei anyagok. (…) Madaras nem biztonsági megoldásokra törekszik, hanem élményszerű muzsikálásra.”
ZeneKar, 11.05.2016
“Der junge Dirigent Gergely Madaras formte die Charaktere des Stücks mit den gewohnt topkonzentrierten Resonanzlern plastisch aus. Von der gespenstischen Totentanzkühle im ersten Satz bis zum feurigen Finale demonstrierte das Kammerorchester einmal mehr jene Mischung aus Präzision, Musizierlust und Leidenschaft, die es zu einem Ensemble der Spitzenklasse gemacht hat.”
Hamburger Abendblatt, 26.04.2016
“Madaras Gergely markáns karakterekkel, élénk ritmusprofilokkal, szuggesztív összhatást keltve vezényelte a művet. Elkoptatott zsurnalisztikus fordulat azt írni, hogy a záró szám „megkoronázta a műsort”, most azonban valóban ez történt: a Haydn-szimfónia olyan élettelien, a saroktételekben olyan sodró lendülettel, vérbő hangzással és részletgazdagsággal szólalt meg, hogy ez a teljesítmény a karmester és a zenekar részéről egyaránt felülmúlta a hangverseny összes korábbi produkciójában tapasztaltakat. Az Andante és a Menuetto kidolgozottságot, kamarazenei megmozdulásokat hozott, s általánosságban elmondható, hogy mindvégig kedv, lendület, invenció jellemezte karmester és zenekar termékeny együttműködését.”
ZeneKar, 19.03.2016
“Conductor Gergely Madaras handled the vast choral and orchestral forces with great panache, digging out fine detail from Orff’s score and adding some of his own (such as the raucously entertaining crowd noises in ‘In Taberna’). He also brought energy and insight to the first half programme: Ibert’s sensuously dynamic Bacchanale and Hindemith’s Technicolor orchestral showpiece Symphonic Metamorphosis on Themes by Weber. The BBC Symphony Orchestra, percussion well to the fore, was on sparkling robust form throughout.”
Nottingham Post, 13.03.2016
“La direction de Gergely Madaras eut le mérite d’une vision haletante, ne manquant pas la noirceur de l’orchestration de Mozart : équilibre de l’orchestre et de ces vents si richement colorés.”
Bachtrack, 24.12.2015
„Denn das Ensemble unter der Leitung von Gergely Madaras ist in seiner Dosierungsfähigkeit ausgesprochen kunstfertig. Es kann Sinnlichkeit und Kühle wunderbar abstimmen, Wärme und Klarheit, Kopf und Geist. (…) Madaras dirigiert Brittens Variationen mit so großer Lust an diesen diversen musikalischen Ausdrucksformen, dass sie der zugänglichste Teil des Abends ist. Nominiert dafür war aber auch Schuberts 3. Symphonie, mit der das Konzert endet. All deren Eingängigkeit kontrolliert Madaras. Die klassische Form sticht im Kopfsatz hervor, einzig zu Beginn des Finales bricht romantisches Drängen heraus. Ein wunderbarer Abend, der ein ohnehin erfrischendes Programm in besonders ungewöhnlichem Licht zeigt.”
Süddeutsche Zeitung, 29.11.2015
“Das Münchener Kammerorchester unter Gergely Madaras und der Oboist Francois Leleux haben die Erwartungen bei weitem übertroffen…Der Ungar Gergely Madaras dirigierte mit Stab, exakt und mit vollem Körpereinsatz…In überbordender Freude wuchsen Allegro alle zusammen, Leleux und seine Oboe, der junge Dirigent Gergely Madaras, das Ensemble und das Publikum.”
Schwaebische Zeitung, 16.05.2015
“En première partie, la 4ème symphonie en si bémol majeur de Beethoven, fort honorablement interprétée (…) l’orchestre conduit par Gergely Madaras se hisse à un niveau enviable.”
Forum Opera, 10.11.2014
“…egymástól funkciójukban és stílusukban egyaránt merőben eltérő kompozíciókat (…) egyáltalán nem ígérkezett könnyű feladatnak egymásra vonatkoztatni. Az este fiatal karmesterének, a Londonban és Dijonban tevékenykedő Madaras Gergelynek azonban sikerült: Madaras Gergelynek (..) sikerült: anélkül alkotott harmonikus egységet a széttartó elemek sokféleségéből, hogy azok egyedi karakterét megkísérelte volna valamely kétséges koncepció szellemében egymásra vetíteni. Nem törekedett másra, mint az egyes alkotások magától értetődő és erőteljes megszólaltatására, és ebben remek partnerre talált a rutinos, egyszerre markáns és fényes hangzású zenekarban és az este szellemesen virtuóz szólistájában, Patricia Kopatchinskajában. (…) A dirigens lényegre törő fegyelmezettséggel, de plasztikus humorral domborította ki a mű egyedi karakteréből fakadó formai „szórakozottságot”, kétballábasságot, a könnyedén ívelő dallamok és a gördülékeny harmóniaterv váratlan megtorpanásait, félresiklásait. Úgy rajzolva meg a tökéletesen kiegyensúlyozott, minden váratlan ötletet készséges természetességgel elsimító stílus torzító tükörben látszó, irreális képét, hogy az közben nem váltotta fel az eredeti portrét, csak időnként villant ki mögüle. (…) A Kodály-művek (…) a koncert első felének sűrű ötletbörzéjéhez képest (…) szélesen bontakoztak ki, szinte idillien konzervatív öntudattal tárva fel szépségüket Madaras Gergely egyszerre precíz és életteli, áradóan tartózkodó interpretációinak segítségével.”
Muzsika, 05.2014
“A hatalmas sikerben persze döntő szerepet játszott Madaras Gergely karmesteri teljesítményének: ő magától értetődő természetességgel teremtett rendet az iszonyatosan nehéz partitúra megszólaltatásában, ha kellett, a legfinomabb részletekre élesen figyelő füllel, ha kellett, a fokozást is a végletekig tovább fokozva. Vajda Gergelynél mintha egy fokkal tartózkodóbb alkat volna Madaras, de aki harminc éves korában ezzel a magától értetődő kompetenciával és perfekcionizmussal vezényli ezt a darabot, attól még nagyon sokat várhatunk. A Kodály-műveket azután a megformálásnak ugyanezzel a magabiztos nyugalmával vezényelte Madaras Gergely; a zenekar pedig teljes értékű partnere volt mind a Variációk zseniálisan érzéki hangzási effektusainak megszólaltatásában, mind pedig a kodályi, tiszta és tartózkodó érzelmesség hiteles és szuggesztív tolmácsolásában.”
Revizor Online, 15.04.2014
“Gergely Madaras fait à nouveau preuve d’une solide maîtrise : responsable de l’Orchestre Dijon Bourgogne, il possède une gestique précise et agréable à voir. Son travail se reconnait dans les résultats qu’il obtient avec les cordes, et surtout dans l’équilibre qu’il obtient entre l’orchestre et le chœur, comme par exemple dans la troisième pièce, lorsque les choristes sont accompagnés par des pizzicati en parfaite symbiose, ou dans l’épisode pastoral de Denn alles Fleisch, es ist wie Gras, où la transparence de l’orchestre correspond totalement à celle du chœur. Le chef joue beaucoup avec les contrastes de dynamique, que ce soit en opposant fortement les nuances comme dans le deuxième chœur ou dans le sixième, ou bien en mettant l’accent sur les ruptures d’écriture au moment des fugues.”
Res Musica, 10.04.2014
“Kopacsinszkaja méltó társakat kapott. Madaras Gergely és a Rádiózenekar remekül tolmácsolta a különleges hegedűversenyt. Szünet után Kodály Páva-variációi és a Marosszéki táncok szólalt meg. Merész vállalkozás a jól ismert darabokat egymás után játszani, bár mindkettő izgalmas, de variációsorozatból talán sok a két mű. Különösen a felvillanyozó hegedűverseny után. A két darab tolmácsolása eloszlatta a kételyeket: a zenekar fantasztikusan szólalt meg. Madaras (…) remek, ízes, kiváló szólókban bővelkedő előadást irányított, lelkes, tüzes zenekar élén.”
Gramofon, 07.04.2014
“Here, with the orchestra raised up in the pit to the level of the stage, it sounded consistently lively and colorful under the dynamic baton of Hungarian-born Gergely Madaras, now in his late twenties and winner of the first ENO Charles Mackerras Fellowship; his easy command of both stage and orchestral forces revealed a major talent promising much for the future.”
Opera News, 02.2014
“Montre-moi comment tu diriges, je te dirai qui tu es ! A ce petit jeu, Gergely Madaras révèle les trois qualités essentielles que sont la précision, la clarté et l’énergie, ainsi que le don de capter l’attention des musiciens. Sa battue est franche et ses tempi parfaitement maîtrisés. Quant à sa vision des œuvres, si elle reste très respectueuse, elle n’en est pas moins empreinte d’une fraîcheur bienvenue.”
Bien Public, 22.12.2013
“Musically there is magic too, for the orchestra has been rescued from the aurally murky depths of the pit and raised to a level in full view of the audience. This completely transforms the sound, the clean, spirited playing under Gergely Madaras delivered crisply and directly…”
Musical America, 15.11.2013
“The next thing you notice is the young conductor, Gergely Madaras, striding to the podium and launching straight into the overture, even before the lights have gone down. The impact is immediate, carrying us into Mozart’s magical world without delay or time to settle into the usual audience lethargy…”
Express, 12.11.2013
“Spirited conducting from Gergely Madaras ensures that everything works musically as it should…”
The Independent, 8.11.2013
“The conductor Gergely Madaras was terrific, I admit – energizing an orchestra in a raised pit…”
The Telegraph, 8.11.2013
“The first [magical moment] is apparent before a note is heard: the orchestra has been raised out of the pit, placing it closer to the drama. Two players actually take part in the action. With Gergely Madaras making a promising Coliseum debut, the results are both transparent and vibrant…”
London Evening Standard, 8.11.2013
“Yesterday The Magic Flute was in English; but the main language in the foyer seemed to be Hungarian. That was because the holder of ENO’s Mackerras Conducting Fellowship was on the podium for a performance for the first time: Gergely Madaras, 28, from Budapest. He has been working at ENO alongside Ed Gardner, being mentored and nurtured. Perhaps The Magic Flute isn’t an ideal debut opera – but his conducting was full of vim and whoosh, extremely alive, well-balanced and tender-hearted. (…) on the whole Madaras seems a careful accompanist and a fine, full-spirited musician. I look forward to hearing more of him.”
Jessica Duchen’s Classical Music Blog, 8.11.2013
“With Viva’s strings producing an attractively grainy string sound, Madaras presided over a performance full of character. (…) The performance of Beethoven’s Eroica Symphony after the interval (…) was an ear-cleansing account that moved more like a big cat than a lumbering juggernaut, with the left-right placing of the violins helping to elucidate textures and sonorities. The first movement recapitulation, where Beethoven brings the horn in early with the opening theme, created a real frisson, and concentrated intensity in the Funeral March integrated the expressive contrasts into a single span. Madaras introduced a couple of novel touches in the finale, calling for just solo strings at one point, at another asking for the clarinets to project their sound with the bells raised…”
Music&Vision, 03.2013